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dc.contributor.author |
Debieb, Ahlem |
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dc.date.accessioned |
2024-10-09T13:28:49Z |
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dc.date.available |
2024-10-09T13:28:49Z |
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dc.date.issued |
2024-03-07 |
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dc.identifier.uri |
http://repository.usthb.dz//xmlui/handle/123456789/9905 |
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dc.description |
126 p. : ill. ; 30 cm + (CD-Rom) |
en_US |
dc.description.abstract |
Le feu est une perturbation qui affecte de nombreux écosystèmes terrestres, en particulier forestiers, qui a contribué fortement à les façonner et réguler leur composition, leur structure et leur fonctionnement. La superficie forestière annuelle moyenne mondiale brûlée est estimée à 65 millions d’ha . Le bassin méditerranéen, point chaud (hot spot), perd annuellement entre 0.5 et 1 million d’hectares de forêts et autres formations boisées.En Algérie, la moyenne annuelle des surfaces détruites par le feu se situe entre 45 000 et 50 000 ha. La subéraie est la formation forestière la plus touchée par les incendies en Algérie. L’objectif de cette étude était d'évaluer la diversité et la structure de la végétation d'une subéraie à Chêne liège dans une partie de l'Atlas Blidéen avant et après un incendie ainsi que l’effet des incendies sur le sol. Dans l'Atlas Blidéen, nous avons opté à un échantillonnage systématique de quatre transects selon une approche synchronique, dans des stations conservées et d’autres incendiées dont la date du dernier feu est connue. L’inventaire floristique fait ressortir 173 espèces appartenant à 52 familles botaniques et 137 genres avec la dominance des Astéracées suivies par les fabacées et les Poacées. La dominance des herbacées thérophytes indique la dégradation du milieu. Il ressort de l’analyse fréquentielle de la végétation un algorithme de l’archipel formé de 20 coenons. La vue de l’ensemble des groupements coenologiques montre que la subéraie est en état de dégradation surtout par les incendies de foret. Elle correspond plutôt à des matorrals haut et bas plus au moins denses. La comparaison de deux stations incendiées avec une station témoin en utilisant la formule de Brillouin nous a permis de montrer qu'au cours des deux premières années après l'incendie, la biodiversité locale et spatiale a fortement changé. La composition floristique atteint sa valeur maximale en raison de l'installation d'espèces héliophytes, profitant de la présence d'un grand nombre de plantes remplaçant les espèces typiques de la forêt, les sciaphiles. Ces paramètres diminuent et tendent à se stabiliser après sept ans de d'incendie. Le changement de stratification verticale se traduit par une diminution de la strate arborescente, ce qui permet le développement des strates inférieures. Enfin, l’analyse comparative de quelques paramètres physico-chimiques dans les cinq premiers centimètres du sol de la subéraie d’El-Hamdania avant et après le passage du feu, nous a permis de conclure que le feu ne semble pas être un facteur de dégradation du sol superficiel de la subéraie étudiée. Cette méthode consiste en une première évaluation de la réponse de la forêt du chêne liège de l'Atlas Blidéen au feu par la méthode statistique de l'analyse de fréquentielle. |
en_US |
dc.language.iso |
fr |
en_US |
dc.subject |
Ecologie végétale : Atlas d'El-Boulaïda (Algérie) ; Forêts : Incendies : Atlas d'El-Boulaïda (Algérie) ; Stratification : Atlas d'El-Boulaïda (Algérie) ; Biodiversité : Atlas d'El-Boulaïda (Algérie) ; Sols : Propriétés physico-chimiques ; Chênes : Atlas d'El-Boulaïda (Algérie) |
en_US |
dc.title |
Réponse de la végétation aux incendies dans l’Atlas blidéen |
en_US |
dc.type |
Thesis |
en_US |
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